Georges Chelon  
Accueil  Biographie  Chansons  Concerts  Contacts  Discographie  Livres  Photos/Vidéos  Peintures/Dessins  Presse
 
Presse:

L'intelligence et la poésie ne sont médiatiquement plus de mise, c'est vrai.
Mais il reste et il restera toujours des mondes à explorer en compagnie de ceux qui se veulent debout dans un monde qui, peut-être, pourra un jour ne pas se définir "à l'envers"...

Merci, Monsieur Chelon, d'exister et de chanter, et de prouver que le sens de la carrière, tellement à la mode de nos jours, n'a que peu de rapports avec la vérité de l'existence et de ses accomplissements.

Jacques Schraûwen (Radio télévison belge)

Les Fleurs du Mal de Charles Baudelaire, vous connaissez certainement. L’Albatros, Le Spleen sont des poèmes régulièrement étudiés en cours de Français. Georges Chelon (un auteur-compositeur-interprète connu depuis les années 70) les a mis en musique. Ce travail a le mérite de rendre Charles Baudelaire accessible au plus grand nombre. En plus, c’est vraiment très beau.

Le monde des Ados

Il y a parfois des trucs louches. Prenez Georges Chelon, bientôt 77 ans, 54 ans de carrière, à peu près 40 albums derrière lui (sans compter les publics et les compilations), et dont le grand public — pour peu qu’il ait les tempes grisonnantes — ne retient pourtant que deux titres : Sampa et le Père prodigue. L’histoire d’un chien qui revient et celle d’un père qui meurt. Ou l’inverse, je ne sais plus. Alors que son répertoire regorge de chansons méritant la renommée. Comme disait l’autre : Y’a quelque chose qui cloche là-dedans…

Pol de Groeve

Et si c'était enfin son retour ? La voix n'a pas changé, crépitant de tendresse. La musique est tranquille, apaisante, cherchant le sursaut d'humanité. Dans sa chanson sur les attentats, intitulée Le Monde a Peur — comme la Une de notre journal du 12 septembre — Chelon supplie de "les reconstruire, ces tours, avec beaucoup d'amour" et de "nous reconstruire", par la même occasion. Surtout, qu'on ne taxe pas Georges Chelon d'opportunisme, lui qui a fait les frais d'un purisme excessif quand une gloire précoce le portait aux nues. Il est resté le même, son âme n’est pas à vendre.

Maurice Achard - Le Parisien

Chelon interprète Baudelaire avec chaleur, précision, goût, amitié. Il y a là une exceptionnelle réussite dans l’adaptation, une savoureuse manière de lire le poète. Une magnifique simplicité », "Son Baudelaire est celui de chaque jour, un livre au format de poche plutôt qu’en reliure plein cuir, un artisan du beau plutôt qu’un ordonnateur du sublime."

Bertrand Dicale - attribution du "CHOC" (Le monde de la musique)


Le monde a peur